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 Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer

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Pepperonni
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Pepperonni


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MessageSujet: Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer   Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer EmptyMer 8 Mar à 1:12

Soudain, une porte s'ouvrit et un gros homme, la clope au bec, vêtu d'un pyjama à la propreté douteuse et accompagné d'un forte odeur d'alcool et de cigarette , le regarda soupçonneusement.

"Vous êtes qui?"

L'homme à l'impérméable ne broncha pas, regarda le numéro effrité de la porte et se détourna, cet homme n'était pas le but de la mission. Il s'éloigna en direction da la porte 48 mais l'autre l'interpella agressivement.

"Ca t'dérengerait d'répondre quand on t'parle?
-Cela dépend qui me parle. En l'occurence, oui, ça me dérange.
-En l'au cul quoi? Eh! Fais pas ton malin avec moi! Te fous pas de ma gueule pasque sinon, pasque sinon,j 'vais, j'vais,...
-Vous allez?
-Ferme-la!
-Sachez ce que vous voulez. Je parle ou je me tais?
-Tu va regretter de t'payer ma tête!"

Il s'avança en titubant et l'homme lui jetta un regard dédaigneux, puis lui dit très séchement.

"Jusqu'à maintenant j'ai été gentil. Alros tu as interêt à te barrer trsè vite, à fermer ta porte et à te prendre un petit verre ou deux pour oublier que tu m'as vu. Compris?
-Et pourquoi qu'j'ferais ça?
-Parce que tu tiens à ta minable existence!
-Tu m'menaces?
-Parfaitement.
-T'es marrant toi, j't'aime bien! Dis, tu plaisantes, hein?
-J'ai une tête à plaisanter?"

Ce disant l'homme sortit un Beretta 92 de son manteau, où il ne formait pas même une bosse qui aurait pu signaler sa présence. Il le pointa sur la tempe de l'homme qui lui fesait face.

"Je...je...j'men vais...promis...
-Vite!"

Il s'enfuit à toute allure dans son appartement où il ferma la porte à double tour. L'homme à l'impérméable resta quelques instants immobile puis rangea son arme. Il rejeta uen mèche de cheveux en arrière et s'avança vers l'appartement qui portait le numéro 48. Il frappa à la porte et attendit. De l'autre côté, un oeil l'observa par l'oeillet.

"Z'êtes qui?
-Le propriétaire, je viens prendre le loyer.
-Cassez-vous! On paiera plus tard!
-Vous avez déjà 3 mois de reatrd.
-J'm'en fous! Revenez après! Et psi d'abord qu'esce j'en sais qu'vous z'êtes le proprio?
-Laissez-moi entrer, je vous montre mes papiers.
-Nan! Du balai! Foutez-nous la paix!
-Bien, je repasserai. mais vous avez intêret à ouvrir cette fois.
-Ouais, ouais, v'z'inquiètez pas!"

L'homme derrière la porte guetta longtemps à l'oeillet pour être certain qu'il était parti. Puis il se tourna vers l'homme qui se tenait à ses côtés. Celui-ci demanda:

"C'était qui?
-Un sale type! Une tête de tueur! L'a dit qui v'nait pour l'loyer!
-Tu pouvais pas lui filer du fric pour qui se barre?
-Ca y est l'est parti! J'lui ai dit de revenir!"

A ce moment précis, il y eu un claquement sec, un bruit de coup, un gros craquement et la porte s'écroula sur eux. L'homme à l'impérméable avait fait sauter la serrure à l'aide de son Beretta équipé d'un silencieux puis avait défoncé la porte branlante d'un coup de pied. Un pied en avant, le regard dur, la machoire serrée, il pointait sur eux son pistolet. Il interrogea séchement:

"Où sont-elles?
-Qui...qui ça?
-Les deux filles de l'appartement?
-Z'êtes pas l'proprio, hein?
-Ta gueule, abruti! C'est d'quelles filles qu'vous parlez? Y a personne ici!
-Vous êtes sûrs?
-Ouais!
-Sûr!
-Bien."

Et il abatit froidement les deux hommes. Accroupi, il dit aux deux cadavres:
"Ca me dérange de gâcher des balles pour vous, mais je n'ai pas le temps de faire autrement. Et le jeu du propriétaitre ne m'amuse pas plus. Mais bon , c'est les ordres. Les ordres sont durs mais c'est les ordres."

Il entendit un craquement et leva les yeux. Une petite fille blonde serrant dans ses bras une poupée le regardait fixement avec des yeux écarquillés d'effroi.

"N'ai pas peur, gamine! Ils le méraitaient!"

La petite éclata soudain en sanglots.

"Arrête de pleurer! C'est fini maintenant!
-Vous..Vous aussi?"

Elle avait murmuré ces mots, d'une toute petite voix terrorisée. Si bien qu'il fut obligé de s'approcher pour l'entendre. Il la regarda, agacé. Réconforter les gamines ne fesait pas partie de son boulot. Il avait fini, il pouvait s'en aller. Pourtant, il resta là, à tenter de la calmer. Il y avait quelque chose dans se syeux qui le fascinait. Mais il ne pouuvait s'empêcher de s'énerver contre elle.

"Moi aussi, quoi?
-Vous...vous...êtes comme eux?
-Comme eux?
-Un...un..tueur...
-Ouais sauf que moi je suis le gentil et eux les méchants!
-Pou...Pourquoi?
-Pourquoi quoi?
-Pourquoi vous seriez différent d'eux?"

Il resta quelques instants sans parler, étonné. Cette petite fille parlait très bien et sa voix commençait à reprendre de l'assurance. Il avait à présent presque l'impression qu'elle l'accusait. Qu'elle l'accusait de tuer comme ces salopards.

"Je suis différent parce que moi, je tue pour aider les gens, pas pour moi.
-Vous tuez aussi pour venger les gens?
-Venger les gens? Pourquoi, ils t'ont fait du mal?"

Sans un mot, la fillette partit dans l'appartement. Sans savoir trop pourquoi, il la suivit. Elle s'arrêta soudain devant une porte fermée et l'ouvrit d'un coup de pied. IL s'avança et elle s'écarta pour lui laisser le passage. Même lui, qui était pourtant coutumier de ce genre de choses, ne put réprime run haut-le-coeur en voyant le carnage qu'il y avait. Ce qui avait du être le corps d'une jeune fille était éparpillé dans toute la pièce, baignant dans le sang. Chaque membre avait été méthodiquement mutilé. Il y avait tant de haine dans cet oeuvre qu'elle était presque palpable.

"Alors, c'est pour la venger que vous les avez tués?"

Il cru tout d'abord que sa voix était brisé par l'émotion et qu'elle pleurait. Mais il comprit alors que le lueur de ses yeux qui l'attirait et le ton de savoix était dus à la haine. Une haine si forte qu'il n'en avait jamais vu de telle. Surtout chez quelqu'un de si jeune.

"Répondez!"

Sa voix avait claquée comme un coup de feu, sèche et autoritaire. Pleine de haine.

"Non ce n'est pas pour ça. Je fais mon boulot c'est tout.
-C'ets quoi votre boulot?
-Défendre et protéger les gens?
-Alors pourquoi vous n'avez rien fait pour elle?
-Je suis arrivé trop tard. Des fois il ya des ratées dans le métier.
-Vous êtes flic, hein? Et elle, c'est une ratée c'est ça?
-Je n'aime pas trop le terme "flic" mais bon. Je n'y peux rien, j'ai été prévenu trop tard.
-Ca fait deux semaine, deux semaines que je suis ici! Et il ya deux semaines j'ai appelé la police pour les prévenir! Et vous débarquez et vous me dite sque vous avez été prévenu top tard?
-J'ai reçu mon ordre de mission cette nuit et je me suis aussitôt mis en route. On n'a rien pu faire plus tôt à cause de difficultés à localiser l'appel. Et il m'a fallu du temps pour venir et toruver l'appartment, désolé. Vous venez avec moi? On va sortir, et ils vont arrivés, des gens s'occuperont de vous."

Le ton de la voix de la petite l'horrifiait. Non pas qu'il eut peur d'elle, mais il se demandait ce qu'allait devenir cette haine immense lorsque l peite fille grandirait. C'est comme ça que les plus grands sérial-killers le sont devenus. Il s'adouciçait et lui aprlait comme à un tout petit enfant. Elle n'eut pas l'air d'apprécier.

"Foutez-moi la paix! Je vous déteste! Vous et tous les gens comme vous! Les tueurs avec ou sans uniformes! Puisque vous ne l'avez pas fait, moi je la vengerai!"

L'homme à l'impérméable fit mine de ne rien entendre, sortit d'une poche de son manteau qui semblait sans fond un téléphone. Il composa un numéro. Au bout du fil une voix peu aimable lui répondit:

"Police centrale. Qu'est-ce que vous voulez?
-Agent n°14 au rapport. Mission remplie avec succès. Bilan: trois morts. Deux morts chez l'ennemi, un mort civil. Suis sur les lieux de la mission. Envoyez service psychologique infantile. Enfant très perturbée. Nécessite grands soins.
-Je vous passe M.Hopkins."

Une musique éraillée résonna dans la combiné pusi uen voix d'homme. D'un homme agacé d'être dérangé.

"J'écoute.
-Agent n°14. Mission remplie avec...
-Peu importe! Qu'y a-t-til?
-Une enfant très perturbée.
-Controlable?
-Difficilement. Les services psychologiques devraient y arriver.
-Ca fera donc un agent de plus. J'envoie le service. Vous pourrez partir dès qu'ils arriveront. Mais surtout ne la laissez pas seule."

Il y eut un déclic puis un bip grave. Mr.Hopkins avait raccroché. L'homme se tourna vers la gamine.

"Ils arrivent. On va les attendre en bas.
-Qui ça?
-Des gens qui vont s'occuper de toi."

Il ne sut pourquoi, mais en prononçant ces mots, un léger malaise le saisit. Quelque chose clochait. Il avait comme une troublante impression de déjà-vu. Soudain il y euit un graquement, puis d'autres. Quelqu'un montait l'escalier. Au bruit qu'elle fesait, il estima que cette personne devait être une femme ou un homme très mince. Quelqu'un qui avait l'habitude de monter des escaliers en ne faisant presque aucun bruit. Les craquement étaient à peine perceptibles et s'il n'avait eu une ouïe si bein entrainé, il n'aurait rien entendu. C'était quelqu'un du métier. Du métier de tueur. Tout à coup le bruit qui était devenu plus proche s'arrêta. C'était pour lui. Il entendit un bruit de pas à peine audible et aussitôt il repoussa la petite dans une autre pièce pour la mettre à l'abri. Lui-même se dissimula derrière une commode dans le couloir de l'appartement d'où il avait une vue dégagée sur l'entrée. La femme qui pénétra à l'intérieur -il ne s'était pas trompé, c'était bien une femme- était plutôt belle. Grande et mince, la silhouette élancée, elle était habillée d'un blouson noir sous lequel ses armes formaient des renflements. Elle tenait aussi à la main un Beretta et paraissait déterminée à s'en servir.Elle avança prudement et il vit ses cheveux noirs coupés courts, couverts de pellicules. Elle darda ses yeux noisette dans sa direction comme si elle pouvait sentir sa présence. elle s'arrêta jsuet après le seuil de façon à pouvoir se défendre de n'importe quelle direction que parte l'attaque. Sa voix dure claqua comem un fouet:
"Max? Joe? Abrutis! Venez!
-Tu parles toute seule? Tu sais que les morts ne répondent pas?"

Elle se raidit et se tourna vers l'homme qui venait de sortir de sa cachette. Pistolet à la main, il souriat, plien d'une assurance feinte. Non pas qu'il soit mal à l'aise mais il était en train de calculer toutes ses possibilités et certaines n'étaient pas fameuses.

"Ils se sont fait descendre! Quels cons! Où est la gamine?
-La gamine? Vous vous interessez à la gamine?
-Je suis sûre qu'elle fera une excellente recrue! Elle a été très bien conditionnée!"

A cet instant précis tout parut clair à l'homme. Il comprit son malaise.

"Vous n'avez fait tout cela que pour la faire devenir tueuse?
-Pas exactement. En réalité, les deux cons ont occupé cet appart' et ils y ont trouvé uen très bonne recrue potentielle. Après nosu avosn fais le conditionnement.
-Salope! Comment pouvez-vous...
-Que croyez-vous? Que les flics sont des anges, eux? A votre avis pourquoi s'occpuent-ils de cette gamine? Mais quelle ets la différence, qu'elle soit avec nous ou avec eux, il adviendra la même chose d'elle. Elle deviendra une tueuse. Je sais, vous allez dire il y a les camps des bon et le camp des méchants. En ce moment c'ets nous els méchants et eux les bons, pourquoi? Parce que c'est leur gouvernement qui est au pouvoir! Leurs crimes ont légales mais pas les notre. Et pourtant nous nosu battons tous pour la même chose, le pouvoir! Mais si c'était notre gouvernement qui était au pouvoir, ce serait nous les gentils! La légalité n'est qu'une couverture pour les crimes même s'ils sont aussi horribles que les autres."

Il savait parfaitement cela. Au fond de lui il l'avait toujours sut, mais il n'avait jamais voulu se l'admettre. Se dire qu'il fesait le bien l'aidiat à ne pas culpabiliser. Mais en fait il emntait. Il se mentait. Il savait très bien qu'il n'était qu'un tueur. Rien de moins. Il était comme eux, cette femme avait raison, la gamine aussi. La seule différence était jusque là qu'il prétendait servir par ses crimes le bon côté. Mais il n'y avait pas de bon côté. Il le savait. Simplement la différence entre les tueurs banals et la police c'était que la police mentait. Elel rpéntendait sevrir et protéger les gens. Elle ne fesait que lutter pour le pouvoir, comme els autres tueurs. On pouvait même considérer par ce raisonnement que les tueurs étaient plsu honnêtes que la police. Il ne se cachait pas sous el faux masque de la justice. En ce moment c'était son camp qui jouait le jeu du défenseur uniquement parce qu'il disposait des prisons et du soutien des hommes politiques actuels.

"Soyez raisonnable. Donnez-nous la gamine. Elle n'aura pas un meilleur avenir avec eux. Vous le savez très bien.
-C'est d'accord. Puis'uelle ne peut avoir un meilleur avnir ni avec vous ni avec eux, alors..."

Ce disant, il se déplaça jusqu'à la pièce où se trouvait la fillette. Il en réflechissait plus. Il avait toujours été trompé, mais aujourd'hui, il pouvait changer cela. Les doubler. Il atteignit la port,pénétra dans la chambre et saisit l'enfant en pointant son arme sur sa tempe.

"...Alors, aucun camp ne l'aura!
-Ne faites pas ça, cela n'arrangerait rien de la tuer!"

Il recula jusqu'à se trouver adossé à la fenêtre. Il sentit soudain une douleur aiguë dans sa main qui retenait la gamine. Du sang coulait. Elle l'avait mordu pour se libérer mais cela ne lui fit pas lâcher prise.

"Vous ne gagnerez rien à faire cela! Arrêtez!
-Hasta la Vista!"

Et, prenant son Beretta dans sa bouche, il sauta par la fenêtre en protégeant la fillette de son corps contre els éclats de verre et de bois.

"Merde! Quel con! Pourquoi a-t-il fait ça?"

Elle ne préféra pas regarder par la fenêtre et dévala les escaliers branlants. Si elle s'était penchée pour regarder à travers la vitre brisée, elle aurait vu qu'ellle se trompait. L'homme n'avait pas décidé d'en finir avec la vie. Il avait simplement voulu lui échapper. Il était accroché par un bras, l'autre tenant la petite fille, à une étroire corniche qui ne devait pas dépasser les 5 cm de large. Ainsi suspendu dans le vide, il luttait pour ne aps lâcher prise, sinon c'était leur mort à tous les deux. Car tomber du 9e étage n'a jamaisde bien à personne. Il tente de convaincre la gamine de se hisser jsuqu'à la corniche.

"Si tu ne montes pas, nosu sommes fichus, tous les deux.
-Je m'en fiche. Tout cela n'a plus d'importance pour moi.
-Mais tu ne pourras pas venger ta soeur!"

Il avait visé juste. La seule raison de vivre de cette fille était la vengeance. Autant qu'elle la consumait, la haine lui permettait, tel le phoenix, de renaître de ses cendres, encore plsu forte. Elle hésita un instant.

"Me promettez-vous de me laisser me venger?
-Si c'est ce que tu veux faire, oui.
-Mais pourquoi feriez-vous cela? Vous êtes flic, non? Vous allez me livrer à eux?
-En fesant ce que je viens de faire, j'ai définitivement rompu totu mes liens avec al police et avec les autres tueurs.
-C'est faux!Vous pouvez très bien m'emmener à la police après!
-Je ne le ferais pas.
-Et pourquoi?
-Parce que tu es comme moi.
-Comment ça?
-Je n'ai pas el temps de t'expliquer maintenant mais si tu remontes, je te jure de te raconter tout ça.
-Mouais."

La petite grimpa le long de son corps, et, prenant sa tête pour appui se hissa sur la mince corniche.


Dernière édition par le Mer 15 Mar à 8:54, édité 9 fois
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Gratouille
P'tit Coeur



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MessageSujet: Re: Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer   Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer EmptyMer 8 Mar à 3:59

Il s'executa sans broncher , de peur sans doute d'y laisser sa peau.
L'homme a l'imperméable continua a gravir les escaliers qui au fur et a mesure de sa progression devenaient de plus en plus branlant .
"Quelle poisse "pensa t il " " il fallait que le patron me choisisse pour cette mission"
Il arriva devant le numero ,51,alors qu'il allait defoncer la porte pour executer sa sale besogne, il fut surpris de trouver la porte deja ouverte .
Par precaution , il sorti son arme , a premiere vu ce sale rat devait etre couvert de dette jusqu'au coup ,il s'avanca silencieusement dans l'appartement .
En regardant autour de lui, il pouvait voir qu'effectivement quelqu'un était deja passé , on aurait dit qu'un tiffon avait balayer l'interieur de ce trou, laissant derriere lui un miserable cadavre avec un balle en pleine tete.
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Amune
Chef [MaNo]
Amune


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MessageSujet: Re: Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer   Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer EmptyMer 8 Mar à 4:15

Prostrée au coté de l'homme, une femme pleurait. L'homme s'interrogeait, qui était-elle? Devait-il se montrer?
Coupant court à ses hésitations, un cri jeté d'une pièce sombre à coté retentit…
Crie plus fort, catin!

Son sang ne fit qu'un tour…
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cortez
Parrain
cortez


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MessageSujet: Re: Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer   Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer EmptyMer 8 Mar à 5:08

il defonça la porte balança une rafale de thompson a travers la piece puis ce decida a allumer la lumiere il les avait tuer tous les deux il s approcha retourna le corps du gars ce n etait pas pas son contrat decidement il etait trop impulsif il sortie de l appart liquida le concierge qui etait arriver voir ce qu il ce passait et sortie chercher des information
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Pepperonni
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Pepperonni


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MessageSujet: Re: Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer   Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer EmptyMer 15 Mar à 8:54

Poussant un soupir de soulagement, l'homme réunit le peu de forces qui lui restaient et tirant sur son bras, il parvint à escalader le rebord. Contraints de rester dbouts par la taille de la corniche, l'homme et la filllette restèrent un long moment plaqués contre la façade, le temps que l'hommme récupère ce qui n'était pas aisé dans cette posture. Il profite de ce laps de temps pour examiner la situation. Ellle n'était pas fameuse. Ils étaient sur une corniche de cinq centimètres de largeur, au neuvième étage d'un immeuble délabré, avec en bas le trottoir, des tueurs et la police. Aucun des trois ne le tentait. Il restait toujours 3 autres possibilités. A gauche, a droite et en haut. A gauche, trois mètres plus loin, la corniche était tombée. En haut il n'y avait aucune prise. A droite...a droite il y avait la corniche qui tournait à angle droit de l'autre côté du bâtiment, et il ne savait pas ce qu'il y avait plus loin. Il bénéficiait d'un avantage, la surprise, les tueurs pensaient qu'il était mort et la police qu'il était de leur bord. Il avait un incovénient et pas des moindres, ... la gamine.
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Pepperonni
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MessageSujet: Re: Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer   Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer EmptyMer 29 Mar à 11:51

Suite par Pepperonni de l'histoire à continuer Tueurvendetta9kr

un petit dessin du héros ( fait par ma meilleure amie)
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