Gloire Cauchemardesque !!!

Un beau jour de printemps, la vie allait changer dans la famille Padrel, en effet le petit Al venait de naître.

Al était un petit bébé turbulent ce qui inquiétaient beaucoup ses parents, mais mis à part ces petits soucis la vie menait son train train quotidien et la fortune souriait au Padrel.
Le père qui était agent boursier gagné bien sa vie ce qui permettait à madame Padrel de s’occuper tranquillement du petit Al.

Al avait maintenant l’age d’aller à l’école et à la surprise de beaucoup de monde, Al était un petit génie qui trônait en tête de sa classe. Il surclassait ses camarades dans toutes les matières et cela dura jusqu’au 1er Janvier 1967.

Cette date restera gravée à jamais dans la mémoire de Al, car ce premier janvier qui annoncé la nouvelle année devait être une fête chez les Padrel mais malheureusement un drame survint.

Al qui s’amuser tranquillement vie par la fenêtre un petit homme qui le regarder droit dans les yeux, le garçon qui était âgé maintenant de 12 ans ne vit rien venir, d’un geste rapide et précis le petit homme sortit de sa poche un petit revolver et tira !!!
La balle brisa la vitre et alla se loger dans le pectoral droit de Al qui fut immédiatement conduit à l’hôpital.

Depuis ce jour Al revoit chaque nuit le visage de son agresseur et il c’est juré de le retrouver pour se venger. Grâce a sa remarquable intelligence Al arrivait à faire ses recherches tout en suivant brillamment ses études. Al avait maintenant 18 ans, sa mère atteint d’une grave maladie finissait ses jours à l’hôpital, jusqu’au jour ou le mal l’emporta. Son père toujours très occupé par son travail, rentré tard le soir et ne s’occuper guère de Al.

De son coté le jeune homme après des années de recherche trouva enfin une piste sur l’identité de son agresseur. Il décida donc de suivre cette piste et de quitter le domicile familial pour partir dans les provinces italiennes.



Ps : la suite dans un nouveau chapitre

Ca première destination fut Turin, tout simplement car c’était la première grande ville en venant de France. La première nuit, Al dormi sous un pont où il pus discuté avec un clochard au joli surnom : Crados. Autour d’une bouteille de vin, les deux compères d’un soir discutèrent de tout et de rien.

Le deuxième jour, Al chercha tout d’abord du travail, ce qu’il n’eu aucun mal à trouvé, certes ce n’était pas un job bien payé ni se qu’espérer ses parents mais cela lui conviendrait pendant quelques temps.

Sa deuxième nuit à Turin, Al la passa une nouvelle fois en compagnie de Crados qui était sa seule connaissance à Turin. De plus Al avait beaucoup de sympathie pour ce clochard qui connaissait les rues comme sa poche et toutes les combines pour manger et boire à sa faim.

Il se passa un mois avant que Al n’arriva à se louer un appartement minable, dont les normes d’hygiènes et de sécurité étaient lamentables. La première chose que fit Al était d’invité Crados à venir vivre avec lui, en effet, après un mois passer ensemble dans des nuits glaciales, les deux compères avaient sympathisé et c’était trouvé beaucoup de points commun.

Crados était un bonhomme assez étrange, ça longue barbe, ses dents jaunes et son nez tout bossu lui donné une tête de monstre, chose assez intéressante qu’Al remarqua lors de leur première nuit dans l’appartement étaient les cicatrices de Crados sur le dos et le torse. Mais cela n’était que l’apparence d’un homme qui passé ces journées dehors, et qui avait perdu le goût du travail depuis longtemps. Malgré tout, au contact d’Al, le bonhomme changea et ce remit à vouloir chercher du travail pour aider Al à payer l’appartement et tout ce qu’il faut pour vivre, ou devrège dire survivre !!

Ca faisait déjà deux mois qu’Al avait quitté son père, les premières semaines, ils s’appelaient tous les jours, mais depuis 2 semaines, plus rien.
Al ne s’inquiétait pas pour autant, son père devait être trop occupé par son travail se disait t il.
De plus, Al trouva en Crados un second père beaucoup plus présent et attentif que son vrai père.

Les deux amis commençaient à bien se connaître, mais des secrets subsistés encore, Crados avait remarqué le comportement bizarre du petit quand il dormait et aussi sa cicatrice sur le pectoral droit.

Un soir, pendant le repas, Crados se jeta à l’eau et demanda à Al pourquoi il parlait s’en cesse de vengeance, de coup de feu, de sang et de peur dans ses rêves et aussi comment il s’était fait la cicatrice.

Al surpris, baissa la tête, il n’osait pas regardé son ami dans les yeux, avec courage il lui expliqua ce qui lui était arrivé et en pleure il conclut son récit par un coup de poing sur la table :

« Je me suis promis de le tuer !!!» hurla t’il.

Crados le fixa, le silence était insoutenable dans la pièce, puis il décida d’en dévoiler lui aussi un peu plus sur lui :

« Tu as du remarquer mes cicatrices sur le dos et le torse, quand j’était jeune comme toi, je me suis fait attaqué par une bande, un gang de petit malfrat et ils m’ont donné plusieurs coups de couteaux avant de me laisser gisant dans mon sang »

Cette histoire choqua Al qui n’avait jamais entendu quelque chose d’aussi ignoble, bien sur il avait appris ce qui c’était passé dans les camps de concentration, mais le fait que ce soit à son ami que l’on s’était attaqué obstrué son jugement.

Sur ces révélations, les deux amis décidèrent d’aller ce couché dans leur vieux matelas deux places posé sur le sol. Le lendemain, au petit déjeuner Al pris la parole :

« Ecoute, j’ai bien réfléchi et je crois que l’on devrait s’unir pour retrouver ceux qui nous ont blessé toi et moi, qu’en pense tu »

« Je suis d’accord, j’ai toujours rêvé de me venger mais je n’avait pas le courage de le faire, mais avec toi j’y arriverai. »

Al et Crados passèrent le week-end à s’organiser pour que les recherches soient le plus efficaces possible. Bien entendu, c’était Al qui diriger toute l’opération, le pauvre Crados qui n’était pas un inculte n’arrivait tout de même pas à la cheville du génie.

Il fut donc décider que Crados démissionnerait de son travail pour passer ces journées à la recherche d’indice dans les rues qu’il connaissait si bien mais aussi dans les bibliothèques, les commissariats et tous les autres endroits susceptibles de lui fournir des informations. Pendant ce temps, Al lui devait trouver un emploi plus sain et surtout beaucoup mieux payé. La encore, son intelligence lui permis de trouver cela sans trop de problème.


Après plusieurs semaines de recherche, Crados rapporta à Al le discours d’une dame qu’il avait entendu dans le quartier riche de la ville. La dame se plaignait des hommes en noirs qui terrorisé tout le quartier pour récupérer de l’argent et surtout du pouvoir !!

Les deux hommes qui n’avaient jamais entendu parler de ces hommes en noirs décidèrent dans un premier temps d’en savoir plus sur eux et dans un second temps peut être de s’installer dans le quartier riche pour avoir affaire à l’un d’eux.

Crados passa donc ses journées dans le quartier riche de la ville ce qui ne lui déplaisait pas du tout, on sentait bien au vu des luxueux appartements et maisons que l’argent coulé à flot en ces lieux. Mais quelque chose le gênait, jamais il n’aperçu un seul homme en noir, par contre il en entendait de plus en plus parler. Ce sont des gens costauds, qui viennent nous piller disent les uns, ils nous protègent des voyous contre une modique somme d’argent disent les autres. Le plus étonnant étant les gens qui n’en parle pas, c’était une minorité de personne mais à ne pas négliger.

Tous les soirs, Crados faisait son rapport de ce qu’il avait vu et entendu à Al, qui à chaque fois le féliciter pour la précision de celui-ci. Au bout de seulement quelques jours, Crados avait sur les hommes en noir et sur les choses bizarres ce passant en ville un dossier impressionnant dont voici quelques lignes :

Vendredi 26 juin 1973

Une dame au long cheveux roux, avec un grain de beauté sur la joue gauche, les yeux bleus, mesurant à peu près 1m70 rapporta à une autre dame beaucoup plus vieille le racket d’hier fait par un certain Camillo sur son voisin.

Dans le restaurant, le serveur m’a fait la confidence, après négociation de quelques dollars du prétendu nom des hommes en noir : El Machiavel !! (À vérifier expressément)

Il est 18h, dans une ruelle, j’aperçois deux hommes, discutant et s’échangeant un objet que je n’ai point vu à cause de l’obscurité. Par contre j’ai reconnu l’un des gérant de la pizzeria du quartier. (À creuser).

Dimanche 28 juin 1973

Le facteur m’a raconter une aventure qu’il a eu ce matin, en allant apporter le courrier de la villa des Napoli, l’homme qui a pris le courrier était bizarre, il avait une cicatrice au visage et surtout il semblait nerveux.

Je suis allé à la pizzeria, et je n’ai rien appris de plus sur le gérant nommé Luigi Costra.

Fait important : à la même heure que vendredi et dans la même ruelle, le manège à recommencer entre Luigi Costra et un autre homme caché dans l’ombre et que l’on aperçoit à peine.

Mercredi 31 juin 1973

Du nouveau concernant les hommes en noirs. Il semblerait que l’un d’eu et était aperçu rentrant dans l’usine de jouet situé dans le quartier industrielle.

Je suis donc aller voir près de l’usine si j’en apercevait un, en vain, il semble que se soit des fantômes !
Nom de l’usine à jouet : Vichamela

Chose étrange dont je me suis rendu compte en relisant mes notes : si on déplace les lettres de Vichamela cela fait Machiavel, simple coïncidence ?


Les recherches étaient suffisantes, il fut donc décidé que Crados essayerait de trouver un poste de livreur ou autre dans la pizzeria pour essayer d’infiltrer le milieu et d’obtenir la confiance de Luigi Costra pour en savoir plus sur son buiseness. Al voulait en savoir plus sur cet homme et surtout sur l’homme de l’ombre que voyait Luigi.

Crados réussi à se faire engager en tant que serveur dans la pizzeria « Chez Maria ». Après avoir fait les taches les plus ingrates sans jamais rouspéter, Crados commence à être accepté par l’équipe de la pizzeria composée par 5 serveurs, 2 cuisiniers et un gérant. Sachant que les cuisiniers sont eux aussi des gérants de la pizzeria. Au bout d’un mois de labeur, un soir, alors qu’il nettoyait les tables, Luigi alla voir Crados et lui donna rendez vous dans son bureau après le ménage.

Le bureau de Luigi était situé au fond de la pizzeria, il était assez vaste, son bureau était en face de la porte, une armoire de livre à gauche, une armurerie à droite, et une porte à coté de l’armurerie. Des fleurs étaient posées sur quelques meubles et sur le sol, le bureau était accueillant et on s’y plaisait.

Luigi m’invita à m’asseoir sur un fauteuil :

« Alors Crados, comment c’est passé ce mois en notre compagnie, pas trop de problème d’intégration ? »

« Bien, je pense mettre intégrer et avoir fait correctement toutes les taches qui m’ont était attribuées »

« Justement parlons de ton intégration, de mon coté j’ai trouvé que ça c’était très bien passer niveau boulot mais qu’au niveau de l’intégration il manqué quelque chose…disons que… tu vois l’armurerie la bas, elle est pas la par hasard, je suis un grand fan des armes et j’en collectionne, j’ai mis les plus belles que je possède ici pour me sentir chez moi, et vois tu, ces armes sont comme mes fils et j’en prend énormément soin, un peu comme vous, c’est pour cela que je voudrais t’intégrer encore plus au fonctionnement de cette pizzeria, et tu d’accord pour t’investir encore plus ? »

« Ben c'est-à-dire que cela dépend de ce que vous allez me demander »

« Au trois fois rien ne t’inquiète pas, de plus ne te fait pas de soucis, tu seras largement rémunérer. »

« Alors j’accepte »

« Très bien, dans ce cas tu commence maintenant »

Luigi ce leva, fit le tour du bureau et alla ouvrir l’armurerie, sorti un magnum et me demanda si je savais me servir de ça, car il voulez m’emmener à la chasse pendant le week-end. Je lui dit que je ne m’en était jamais servi mais que j’en connaissait le fonctionnement, il suffisait d’appuyez sur la détente.

Le soir même, j’en discuté avec Al qui hocha de la tête pour me faire comprendre que j’avais pris la bonne décision. L’entente entre les deux amis augmenter de jour en jour et maintenant pour certaines choses, un simple regard ou mouvement de tête suffisait à se faire comprendre.
Crados a donc réussit sa première mission : obtenir la confiance de Luigi.
Mais il ne fallait pas s’arrêter en si bon chemin, donc le rendez vous du week-end vu minutieusement préparé par Al et Crados qui s’entraînèrent tous les deux aux tirs pour pouvoir impressionner Luigi.

Vendredi soir, Luigi permis à Crados de finir plus tôt et lui donna rendez vous à la pizzeria le lendemain à 4h30. Cela permis à Crados d’aller s’entraîner un peu plus au tir et de revoir le plan avec Al.

En effet il fut convenu que Al les suivrait pour plus de précaution, après tout on ne savait rien de Luigi et cela pouvait s’avérer dangereux. De plus Al pourrait ainsi se faire lui-même une opinion sur Luigi et ses compères.

Samedi, 4h25, Crados arriva à la pizzeria et la il vit tout de suite qu’il y avait un problème, la porte d’entrée était grande ouverte, il regarda du coin de l’œil pendant plusieurs secondes pour être sur qu’il n’y avait personne, puis il entra, ses souliers grincèrent sur le sol, des chaises étaient par terre, des tables renversaient, des problèmes en perspectives, le bar était complètement ruiné, la grande glace brisée ainsi que la plupart des verres, les tonneaux d’alcool étaient perforés de plusieurs trous, certainement des balles se disait Crados, sur le sol, le verre et l’alcool s’étaient mélangés, Crados continua jusqu’au bureau de Luigi, et la…
Un hurlement pénétra dans la pièce, c’était celui de Luigi qui venait d’arriver et de découvrir la même scène que Crados qui lui venait de se jeter par terre dans un coin sombre de la pièce.

Il ressortit aussitôt et fut immédiatement questionner par Luigi : que c’est il passer ? As-tu vu quelque chose ? Comment cela c’est il passer ?
A toutes ces questions il ne pouvait répondre que par je n’en sais rien, je viens juste d’arriver.
Luigi eut alors un éclair qui lui traversa le cerveau et il courut directement dans son bureau où la … il découvrit avec joie et horreur que d’un coté ses dossiers étaient en vrac sur le sol mais que de l’autre, l’armurerie était toujours là, bien pleine, et surtout que la porte était toujours fermé ce qui semblait lui avoir fait un énorme soulagement.