l'ouverture

Une grande porte en bois fermait ces lieux, intriguais par l'imposante ouverture je me tenta à y rentrer. La lourde porte ne se laissa pas faire et je du user de mes deux mains pour y arriver, entrevourte je ne m'aperçu que du fait que la salle était obscure, malgrès les nombreuse fenetres qui peuplaient les flans du batiment.
Il me fallu un moment pour que mes yeux s'habituèrent à ce manque d'obscurité, avant que j'y arrive une voix me surprit.

"Bonjour monsieurs, mais vous ne m'avez pas l'air habituer à ces lieux"

Surpris je dégaina mon armes à feu, unique temoin de toute la vie de tout bon gangsters, le braqua en direction de la voix n'apercevant qu'une silhouette assise derrière un bureau

"Qui va là ?"

Petit à petit mes yeux purent voir plus de détails, c'était une vielle dame, cheveux blancs, yeux délavés mais fixe, elle portait un chemisier blanc, mon regard se posa sur son pendentif, une pierre verte avec des lueurs bleus incrustait dans une plaqe ronde qui semblait etre d'or, le tout rattachés à son cou par un fil blanc.
A ma surprise cette vielle n'avait aucunement peur de moi.

"Voyons! ce n'est pas des manières de ce conduire dans une bibliothèque et encore moins envers une personne agée."

J'étais un peu géné, je rangea mon arme et lui présentai mes excuses.
Après lui avoir demandé où j'étais, elle me répondu que ce lieux était une ancienne bibliothèque, abandonné du grand publique, à cause de la violence des rues qui grandissait de jour en jour, des mafieusos qui régnaient petit à petit sur cete ville,et des guerres de clan. Elle me raconta la tristesse qu'elle avait de voir les jeunes jouer les voyous et abandonner la bibliothèque au profit des "jeux de rues".
Moi même qui n'était que trés rarement allé dans une bibliothèque dans ma jeunesse, je ne comprenait pas trop de ce quoi elle se plaignait, la vie était dure et plus personne ne croyait aux histoire, mais elle s'était emportait:

"Vous croyez que seul les contes d'enfants peuplent une bibliothèque !
Et que faites vous de la littérature ? Vous preferez rester nié toutes votres vie ?"

Un peu irrité par ses propos, je me disais que ça ne pouvait pas faire de mal d'y jeter un coup d'oeil, et lui montrer qe j'avais raison.
A cette idée elle souris et dit:

"Mais faites donc, je ne vous en demande pas plus."

Et c'est ainsi que je me t'introduis dans ces rangés de livres, ne sachant pas vraiment ce qu je cherchais encore moins ce que je l'allais y trouver.